14/11/2018
Nouveau cabaret de théâtre d'improvisation le vendredi 30 novembre 2018 à 20h00 avec la troupe Drim Tim
La première fois qu'ils sont venus ici nous faire leur théâtre d'improvisation on a passé un vrai bon et beau moment.... La seconde fois aussi.. et encore la troisième (vous dire si on y prend goût!!!)....Et puis la quatrième aussi....Et à chaque fois de belles découvertes que nous avons été nombreux à partager alors... on a donc décidé de récidiver encore et encore car, par les temps qui courent, se marrer de façon aussi sympathique ne se refuse pas... C'est bien sûr du théâtre, et du bon, et c'est la troupe Drim Tim qui nous vient de Morlaix qui s'y rere et recolle....
Un drôle d'exercice que le théâtre d'impro...pas si facile avec ce va et vient permanent entre la troupe et le public qui décide du choix des thèmes et parfois impose des contraintes supplémentaires histoire de corser le jeu...
Ils seront donc un petit noyau du DRIM TIM à relever le défi que vous, public, oserez leur lancer....
"DRIM TIM », ou tout simplement : « Drôle de Rassemblement d’Improvisateurs Merveilleux de la Troupe Interdisciplinaire Morlaisienne » est une association créée en fin d’année 2013 dans un souci de proposer une réelle identité à l’improvisation sur Morlaix.
Depuis sa Création « DRIM TIM » essaye de mettre en valeur à la fois la pratique de l’improvisation et la pluridisciplinarité que cette activité peut engendrer. Ainsi sur scène se croisent différentes disciplines avec le théâtre bien sûr, mais aussi la musique et la danse.
Les différents improvisateurs se retrouvent tous les mercredis soirs à la MJC de Morlaix pour affûter leur répartie et leur esprit de cohésion.
L’improvisation est l’art de s’adapter à toutes situations afin de rendre celles-ci agréables à vivre, tant pour l’improvisateur que pour l’observateur du moment.
Un cabaret d’improvisation comme nous en allons en présenter à l’Autre Rive est donc un spectacle inédit, jamais encore joué à ce jour. Il se nourrira de l’envie du public et de l’imaginaire des comédiens. Il cherchera à provoquer du rire, de l’émotion, de la poésie, de la dramaturgie, tout et son contraire, rien n’est encore écrit. C’est le public qui choisit ce qu’il souhaite voir et les improvisateurs qui déroulent leur imagination.
Cinq /six comédiens sur scène pour donner vie à vos envies.
Ce sera donc vendredi 30 novembre 2018 à partir de 20h00. Prix libre
Sur réservation car nombre de places disponibles toujours aussi limité en appelant le 0298997258 ou en envoyant un mail.
17:33 | Lien permanent | Commentaires (0)
10/11/2018
samedi 17 novembre 2018 à 14h30... atelier: découverte des hydrolats et eaux florales avec Laure Salaün
Comme la période est peu propice à poursuivre la découverte, in situ, des plantes qui nous entourent on vous propose donc, pour passer l'hiver, une série d'ateliers qui va vous présenter différents aspects de l'utilisation de ces mêmes plantes ( huiles essentielles, sirops, produits cosmétiques... avec Laure Salaun qui, ce samedi 17 novembre 2018, va vous parler et vous faire travailler sur quelque chose qu'elle connait bien (c'est qu'elle en connait des trucs, Laure!) avec les eaux florales et leurs usages multiples....
Même qu'après vous en avoir parlé, elle va vous apprendre à en fabriquer (on vous dira pas quoi, la surprise, faut venir!) que vous pourrez emmener chez vous après, elle a tout le matériel qu'il faut pour ça. (un peu plus petit peut-être que ça mais il y a de ça!!!)
Encore une occasion d'apprendre quelque chose, ce qui n'est jamais perdu par les temps qui courent.
Rendez-vous, donc à l'Autre Rive à 14h30... Prévoir 3 bonnes heures.
Il vous en coûtera 20 euros et il faut apporter avec vous vos petits pots ou flacons pour ramener chez vous la fabrication du jour
Nombre d'inscrits maximum 10, minimum 3.
Sur réservation en appelant le 0298997258 ou en nous envoyant un mail à lautre-rive@hotmail.fr
Laure Salaün cultive et transforme les plantes médicinales depuis 2006
Après une maîtrise d'Ethnologie (UBO, Brest), elle se forme à la connaissance des usages traditionnels des plantes auprès e l'ARH (Association pour le Renouveau de l'Herboristerie, Paris). Elle complète sa démarche avec un DU en ethnobotanique (discipline traitant la relation de l'homme au végétal) sur l'usage des plantes médicinales dans les monts d'Arrée (Lille).
Plus d'infos sur son site http://www.terrefeuillantine.com/
18:21 | Lien permanent | Commentaires (0)
A l'autre-rive le dimanche 18 novembre 2018 à partir de 18h00, rencontre/dédicace avec Anne Guillou pour son dernier livre "Une embuscade dans les Aurès"
A l'autre-rive le dimanche 18 novembre 2018 à partir de 18h00, rencontre/discussion/dédicace avec Anne Guillou au sujet de son dernier livre "Une embuscade dans les Aurès" (éditions Skol Vreizh)...
Une page très personnelle dans la guerre d'Algérie... Cette guerre qui n'en a pas le nom et sur laquelle flotte encore le silence le plus épais.... Percer ce silence là, aujourd'hui encore, n'est pas rien!
Témoignage important pour alimenter notre mémoire collective qui en a bien besoin...
Ouvert à tout le monde, bien sûr...
"Sociologue, écrivain, Anne Guillou-Riou est l’auteur de nombreux ouvrages. Avec ce dernier livre, elle relate le parcours de son fiancé, un jeune officier, mort à 22 ans lors de la guerre d’Algérie, un conflit à propos duquel les langues semblent enfin se délier. Rencontre avec une passeuse de mémoires, la sienne et celle des autres. (Réf: Télégramme Morlaix juillet 2018)
Affecté à un poste militaire dans les Aurès, une province algérienne, le sous-lieutenant Raymond Messager n’a jamais atteint sa destination. Il est mort le 12 septembre 1960, dans une embuscade. Il avait 22 ans. 58 ans plus tard, celle qui était sa fiancée au moment du drame, la sociologue et écrivain Anne Guillou-Riou, revient avec une précision chirurgicale sur ce traumatisme personnel, mais aussi sur les jours sombres de l’Algérie d’alors. Point n’est besoin d’être un fin exégète pour saisir que cet ouvrage offre un éclairage multiple, tant sur un conflit sur lequel pèse encore une lourde chape de silence que sur l’éveil des consciences. Mais aujourd’hui, les langues se délient : « J’ai voulu montrer le quotidien d’un jeune officier en Algérie. C’est un morceau d’histoire que les enfants des appelés d’alors, qui aujourd’hui ont 80 ans et qui sont parfois honteux de ce qu’ils ont vu, veulent connaître. Ce qui m’a convaincue d’écrire et d’aller dans les Aurès, où mon fiancé a été tué, c’est la rencontre des gens qui ont pris part à ce conflit ».
« Une embuscade dans les Aurès »
« Mon intention n’était pas d’écrire un livre triste, même si j’ai enfoui ma tristesse au plus profond de moi pendant plus de 50 ans. Je suis passée par toutes les phases possibles, l’abattement, le désespoir. J’ai même imaginé que j’étais faite pour une vie religieuse, pas pour une vie heureuse avec des enfants, un mari. Puis j’ai saisi une main qui m’était tendue, et peut-être ma vie d’après le drame est-elle encore plus riche. J’ai repris des études de sociologie, je me suis mariée, j’ai eu une fille, j’ai commencé à écrire. Après un aussi long cheminement dans le silence, je n’ai pas voulu laisser dans l’ombre un événement qui a tant bouleversé ma vie. La parole se libère, l’écriture aussi, et il est totalement justifié de travailler sur la mémoire ».
Professeur de sociologie retraitée. S'est spécialisée en sociologie du développement (Bénin, Madagascar) puis en sociologie rurale (Bretagne), Auteur de recherches sociologiques ("Les femmes, la terre, l'argent"), d'essai, de nouvelles et de romans.
Après des études de sociologie, Anne Guillou, originaire de Guiclan (Finistère) a exercé en qualité de chargée d'études au Bénin (ex-Dahomey) de 1966 à 1970, puis de maître de conférences de sociologie à l'Université de Madagascar de 1970 à 1976. Elle y a mené des recherches sur le sous-développement et spécialement les conditions de vie des femmes.
Rentrée en France en 1976, nommée au département de Sociologie de l'Université de Nantes, Docteur d'État de sociologie en 1987, grâce à sa thèse Les Femmes, la Terre, l'Argent, Anne Guillou a développé ses recherches en sociologie rurale et, plus particulièrement, en sociologie des femmes rurales, de l'espace rural et des rapports sociaux en milieu rural, mais aussi sur les élus du Finistère. Nommée professeur à Brest en 1991, elle a créé le département de Sociologie à l'UBO, où elle a exercé jusqu'à sa retraite en 2003, tout en écrivant de la fiction (nouvelles et romans maintenant).
12:41 | Lien permanent | Commentaires (0)
09/11/2018
samedi 10 et dimanche 11 novembre 2018... au coeur du merdier ambiant...
Les samedi 10 et dimanche 11 novembre 2018, dans le cadre de la 8ème édition de "Libre en Littérature" organisée par la Fédération des Cafés-Librairies de Bretagne nous vous proposons de réfléchir ensemble et de débattre sur l'état de notre planète qui commence sérieusement à fatiguer et nous aussi, par la même occasion... le programme sur (http://www.lafederationdescafeslibrairiesbretagne.fr/)
Au menu, si j'ose dire, de la malbouffe, des pesticides, plein de pesticides, tous bons pour la santé bien sûr, des gens qui croient nourrir la planète alors qu'ils ne font que l'empoisonner et eux avec par la même occasion, des tueurs en série avec pignon sur rue, des lobbys lobotomisés et la clef de tout ça, le pognon, beaucoup de pognon, énormément, des montagnes de pognon pour ainsi dire mais pas pour tous le monde quand même, faut pas déconner, notre caste de politiciens professionnels, des gens sérieux et responsables comme il se doit, que nous élisons en tout cas, est là pour veiller au grain en accaparant le pouvoir. Inféodés à la finance et au système qui nous hache menu menu, ils n'ont de politique que le nom mais n'en font surtout pas, le prix à payer pour rester en place!!! Faut dire que c'est devenu une maladie honteuse ce truc là, la politique, "la vie de la cité" un gros mot pour la grande majorité d'entre nous, nous les premiers engoncés dans notre espace de consommateur à défaut de jouer pleinement notre rôle de citoyen... nous avons abdiqué nos droits au profit d'un pseudo confort qui coûte cher, très cher, aux autres de préférence... mais voilà, la toute petite terre sur laquelle nous vivons est ronde et que ce nous crachons dans le vent nous revient dans le dos... et alors là ça rigole plus... la merde est à notre porte, ce sont nos abeilles, nos oiseaux, nos vers de terre, notre eau, notre air, nos sols,, et puis les paysans qui disparaissent aussi et nos emplois, et puis même nos enfants (et pourtant on continue d'en faire beaucoup...) a qui ont laisse un putain d'héritage qu'ils n'auront même pas le temps de récupérer parce que du train ou vont les choses c'est peut-être même nous qui allons en prendre plein les dents... Et c'est nouveau ça... je croyais qu'on avait le temps ??? et bien non, plus le temps... et là mes petits cocos, c'est autre chose... c'est pas possible ce truc là!!! Bref que des trucs légers et sympathiques....
Face à ça, en gros, deux postures... un coup de balai et hop, on cache tout ça sous le tapis, ni vu ni connu... veut pas le savoir!!! Encore valable pour la plupart d'entre nous ça.... faut pas dramatiser, tout ça c'est des conneries.... d'écolo!!!
Et puis, les autres, nous autres, qui depuis des années ramons à contre courant vent debout chargé de crachats.... fatiguant ça, la rame... question ,,, Faudra bien qu'un de ces jours on arrive à se connecter tous autant que nous sommes.... Le collectif... seule solution mais comment faire ???
Donc week-end actif dans les monts d'Arrée avec deux temps forts organisés par l'autre-rive et entre deux, pendant que vous y êtes, vous pourrez participer au fest noz des faucheurs volontaires de samedi soir, à partir de 21h00 sur St Cadou, histoire de respirer un bon coup!!
Donc que des bonnes choses en perspectives quoi... sympathiques et encourageantes... En tout cas, d'expérience, réfléchir et pas tout seul dans son coin, c'est déjà ça!!!
"Manifeste pour la planète""
Samedi 10 novembre 2018 à la salle Asphodèle de Berrien pour pouvoir recevoir tout le monde dans de bonnes conditions (la grande salle à côté de l'école vers le centre de Berrien...facile à trouver)...ici ça risquait d'être un peu petit même si on reste ouvert tout le temps (boire et manger, reste important)
Rendez-vous à partir de 13h30 à la rencontre de Hervé Kempf, journaliste, auteur de nombreux essais, fondateur du quotidien de l’écologie : REPORTERRE et Fabrice Nicolino, journaliste et essayiste.
Autour des défis écologiques, géopolitiques du XXIème siècle, des nécessaires réformes politiques, sociales et économiques pour les relever, de la mobilisation citoyenne et de sa capacité à réinventer la démocratie, dialogue salutaire avec deux hommes engagés autour de leurs derniers ouvrages :
Tout est prêt pour que tout empire. 12 leçons pour éviter la catastrophe, d’Hervé Kempf (Seuil, 2017),
Lettre à une petiote sur l’abominable histoire de la bouffe industrielle, de Fabrice Nicolino (Les Échappés,2017).
et depuis le 12 septembre 2018, Fabrice Nicolino et François Veillerette ont lancé un manifeste : Nous voulons des coquelicots (LLL, 2018) :
Nous exigeons protection. Nous exigeons de nos gouvernants l’interdiction de tous les pesticides en France.
Pas demain. Maintenant. Assez de discours, des actes.
L'occasion de faire le point sur cette campagne.
Rive en partenariat avec le cinéma Arthus
"Écocide"
En présence de Marie-Monique Robin, dimanche 11 novembre 2018 à 17h00, projection du documentaire Le Roundup face à ses juges (M2R Films/ Arte France, 2017) au cinéma Arthus de Huelgoat suivie d’une rencontre, au café-librairie l'autre-rive, avec la réalisatrice.
Marie-Monique Robin, auteure et journaliste d’investigation, témoigne de l’action du Tribunal international Monsanto qui s’est déroulé à La Haye en 2016 et 2017.
Son objectif : entendre les témoignages des victimes et experts, prouver la dangerosité du roundup pour notre écosystème et la santé de tous les vivants y compris l’être humain et démontrer ainsi la responsabilité de Monsanto.
Face à l’inertie des politiques, témoins, victimes, experts, ou simples citoyens… ont su s’emparer de cette question, jusqu’à obtenir un avis juridique qui pourrait infléchir le droit international : faire reconnaître le crime d’écocide afin de pouvoir poursuivre au pénal les dirigeants des firmes dont les activités à grande échelle menacent la sûreté de la planète.*
Ce film documentaire est accompagné d’un livre éponyme (La Découverte, 2017).
Pas de réservations... faut juste venir!!!
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