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21/05/2008

Hervé BELLEC nous lit son transsibérien le vendredi 27 juin 2008

v_book_34.jpgHervé BELLEC.

Il y a ceux qui le connaissent et apprécient la qualité de son écriture.

Il y a les quelques uns d'entre nous qui ont déjà pu apprécier, l'année dernière, sa façon de dire ses propres textes.

Et il y a les autres.

Ceux qui ne le connaissent pas encore.

Sinon je ne vois pas qui. (je rigole)

Aussi, vous êtes tous invités à suivre Hervé BELLEC dans ses nouvelles aventures sur les chemins de Sibérie. Car il vient d'écrire un nouveau livre, Monsieur BELLEC. Les sirènes du transsibérien. C'est le nom.

En vente à la librairie.

ça vient de sortir aux éditions GEORAMA (de brest) qui nous présente ce nouvel opus comme suit:

"Après Saint-Jacques-de-Compostelle, Hervé Bellec reprend sa plume d’écrivain voyageur et nous entraîne vers un autre voyage initiatique, à bord du mythique transsibérien, au cœur de l’hiver russe, jusqu’à la ville de Vladivostok. Une plume alerte et précise, beaucoup d’humour et d’humanité, un savoir voir et un billet de train pour Vladivostok sont les ingrédients de ce récit envoûtant et profond, qui nous mène loin, très loin, dans un pays sans fin nommé Russie !

La taïga sibérienne est de loin la plus grande forêt du monde puisqu'elle représente le tiers de la surface boisée de la planète et par là même demeure une des principales réserves d’oxygène de la biosphère. En Sibérie, elle occupe une bande de 1000 kilomètres de large sur 5000 km de long. Les pins, les mélèzes, les cèdres et les bouleaux se succèdent inlassablement et quand on regarde à travers la vitre du train, on a parfois l’impression de voir défiler le plus long code-barre du monde. C’est à mourir d’ennui et bizarrement, on n’en meurt pas.

On dit que le Transsibérien est un train de légende. A mon sens, c'est plutôt un train de réalités, passées ou présentes, avec une histoire faite de sang et de larmes, avec des voyageurs en chair et en os. De Brest à Vladivostok, c'est à dire des deux points les plus opposés de l'Eurasie, via Moscou, la ville aux mille surprises, mon périple n'aura duré qu'une quinzaine de jours. Quinze jours à travers la Sibérie au coeur de l'hiver le plus cinglant. A mourir de froid et pourtant, je n'en ai ramené que de la chaleur.
"

Ce sera le vendredi 27 juin 2008 à partir de 19h 00 jusqu'à plus tard dans la soirée.

Prévoir les moufles et les bonnets.

Mais pas d'inquiétude, il parait que quand il fait froid la voix porte plus loin.

Alors embarquement immédiat.

On s'occupe du vin chaud.

On s'occupe aussi de récupérer d'ici là un certain nombre d'exemplaires de ce nouveau livre.

Les autres. Les plus anciens sont toujours en vente ici.

Au plaisir donc.

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